Gouverner avec les dieux : autorité, auspices et pouvoir, sous la République romaine et sous Auguste / Yann Berthelet
Autre édition sur le même support: Gouverner par les signes divins / Yann BertheletAutre édition sur un support différent: Gouverner par les signes divins / Yann Berthelet, 17745749XAuteur principal: Berthelet, Yann (1982-....) Langue: français.Pays: France.Editeur: Paris : Les Belles lettres, 2015Description: 1 vol. (435 p.) ; 22 cmISBN: 978-2-251-30001-6. Localiser ce document dans le SUDOC Collection: Mondes anciens, 1Note de thèse: Thèse de doctorat, Histoire ancienne, Paris 1, 2012, Thèse soutenue sous le titre : "Gouverner par les signes divins : recherches sur l'autorité divinatoire publique, sous la République romaine et au début du Principat", Texte remanié deRésumé:La 4e de couverture indique : "La République romaine n'est pas sortie tout armée du crâne de Montesquieu. Loin d'être garanti par une division tripartite du pouvoir, l’équilibre des institutions reposait avant tout sur l’encadrement de la potestas des magistrats par l’auctoritas des prêtres et du Sénat. Le droit d’auspices des magistrats du peuple, hérité du prestigieux monopole auspicial de la vieille noblesse patricienne, formait le noeud gordien de l’articulation de la potestas à l’auctoritas. Leur potestas étant conçue comme « imparfaite », les magistrats étaient en effet contraints de solliciter, au moyen des auspices, une légitimation atomisée et précaire de leurs actes publics par l’auctoritas de Jupiter. Encadrée par les détenteurs institutionnels d’auctoritas, augures et sénateurs, la prise d’auspices se trouvait ainsi au coeur des mécanismes d’autocontrôle de l’aristocratie romaine. Si Auguste respecta formellement ce socle idéologique patricien et conservateur (optimas), il en modifia radicalement la portée par ses innovations en matière de potestas et d’auspices, et par l’importance qu’il conféra à l’auctoritas du prince"
Type de document | Site actuel | Collection | Cote | Statut | Date de retour prévue | Code à barres | Réservations |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Livre empruntable | BU – Saint-Denis Salle violette | Histoire - Y | 937:29 BER (Parcourir l'étagère (Ouvrir ci-dessous)) | Disponible | 025696054 |
Survol BU – Saint-Denis Étagères, Localisation : Salle violette Fermer l'étagère (Fermer la navigation sur l'étagère)
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
||
937:29 BEL Religion et pouvoir dans le monde romain | 937:29 BEL Religion et pouvoir dans le monde romain | 937:29 BER La religion publique des colonies dans l'Italie républicaine et impériale (Italie médio-adriatique, IIIe s. av. N. È.-IIe s. de N.È.) | 937:29 BER Gouverner avec les dieux | 937:29 CHU Chronique des derniers païens | 937:29 Culte Impérial Les cultes augustaux de la province narbonnaise | 937:29 Culte Impérial PRI Rituals and power |
Sommaire disponible en ligne http://www.lesbelleslettres.com/livre/?GCOI=22510100920040&fa=sommaire
Bibliogr. p. [323]-406. Notes bibliogr. Index
Texte remanié de Thèse de doctorat Histoire ancienne Paris 1 2012 Thèse soutenue sous le titre : "Gouverner par les signes divins : recherches sur l'autorité divinatoire publique, sous la République romaine et au début du Principat"
La 4e de couverture indique : "La République romaine n'est pas sortie tout armée du crâne de Montesquieu. Loin d'être garanti par une division tripartite du pouvoir, l’équilibre des institutions reposait avant tout sur l’encadrement de la potestas des magistrats par l’auctoritas des prêtres et du Sénat. Le droit d’auspices des magistrats du peuple, hérité du prestigieux monopole auspicial de la vieille noblesse patricienne, formait le noeud gordien de l’articulation de la potestas à l’auctoritas. Leur potestas étant conçue comme « imparfaite », les magistrats étaient en effet contraints de solliciter, au moyen des auspices, une légitimation atomisée et précaire de leurs actes publics par l’auctoritas de Jupiter. Encadrée par les détenteurs institutionnels d’auctoritas, augures et sénateurs, la prise d’auspices se trouvait ainsi au coeur des mécanismes d’autocontrôle de l’aristocratie romaine. Si Auguste respecta formellement ce socle idéologique patricien et conservateur (optimas), il en modifia radicalement la portée par ses innovations en matière de potestas et d’auspices, et par l’importance qu’il conféra à l’auctoritas du prince"
Il n'y a pas de commentaire pour ce titre.